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Affichage des articles du juin, 2007

Eteimbes (68)

Eteimbes est à moins de 4 km d'Angeot (90). Les CLAR (ou CLORE), COLLERE (COILLERE, COLLEREZ), COUSY (CUSIS, COUSIS), PAPON, TONDRE (TONDER), TACQUARD sont à la fois présents à Angeot et à la fois à Eteimbes selon les sources au 17è et 18è siècle. En fait, "la commune d'Angeot et Eteimbes ne faisait qu'une, car elles étaient gouvernées par le même prévot c'est seulement après la cession du département de l'Alsace et du territoire que les deux communes furent séparées, l'une française l'autre allemande" René du forum geneanet Les deux sites suivants m'ont beaucoup aidé pour cette branche www.lisa90.org et www.thierry.wioland.free.fr , merci à leurs auteurs.

Nicolas COUSY

Nicolas COUSY est né à Famechon dans le 62 et s'est sur son acte de mariage du 22/5/1698 à Angeot (90) qu'on l'apprend. J'ai posté un message sur le forum de GENNPDC et voici la réponse de l'un des membres, un grand merci à lui. "Effectivement, on retrouve le patronyme COISY dans le Pas de Calais avec quelques variances telles: DECOISY, CHOISY. Ils sont assez nombreux et on les retrouve principalement du côté de Pas en Artois dont dépendait Famechon mais également, Bienvillers au Bois, Couin, Souastre, etc... Les homonymes ne manquent pas, surtout avec le prénom Nicolas. Je suppose que lors de son mariage, aucun témoin de sa famille était présent.Savez-vous si les notaires de ce département ont reversé leurs fonds aux archives ? Il serait intéressant de se renseigner sur cette série et de rechercher les notaires qui officiaient pour la commune d'Angeot. Auquel cas, si cela exsite et si c'est accessible, la recherche de ce document peut apporter des élé

Minihy

Dans certains actes, j'ai trouvé comme précision de lieu le terme minihy et Monsieur Maurice Oreal en donne la définition suivante : "Minihy qui est un un dérivé de la monachia des chartes latines désignait initialement un territoire appartenant à un monastère. Plus tard il a servi à désigner le territoire d'un établissement religieux quelconque et l'ensemble des biens qu'il possédait. C'est le sens qu'il a gardé. C'est donc un territoire qui appartient à une abbaye ou à un établissement religieux et qui de ce fait peut bénéficier de certains privilèges ou exemptions : c'est une terre religieuse dont les habitants relèvent des gens d"Eglise et non pas des laïcs. Un abus a parfois donné au mot Minihy la signification d'asile , de lieu de refuge , où des criminels pouvaient venir se mettre sous la sauvegarde de l'Eglise, à l'abri de ceux qui les recherchaient et où les malheureux pouvaient venir se réfugier sous la protection du sain

Ploufragan (22)

L’histoire de Ploufragan est vieille de 5000 ans. En témoignent les mégalithes encore présents sur son territoire. (link à voir) Son nom lui vient du nom du chef breton (Fracan) qui y a fondé son village (plou), vers l’an 460 après J.-C. Plou (préfixe) indique une organisation paroissiale réalisée peu après l’immigration des Bretons de Grande-Bretagne. Fracan (ou Fragan) aurait été l’un des premiers chefs bretons à traverser la Manche et à aborder en Armorique (pour l'évangéliser) vers 460 avec sa femme Gwen (Blanche), ses fils, Guéthenoc et Jacut et une suite peu nombreuse ; il aurait planté ses tentes près du centre-ville actuel (La Vallée), à St-Guen ou à l’Epine-Guen, précédant de 25 ans le fondateur de sa voisine Saint-Brieuc.Deux enfants de Fracan sont nés à Ploufragan : Clérie et Guénolé (à l’origine du lieu-dit Grimolet). Guénolé aurait fondé la célèbre abbaye de Landévennec dans le Finistère. (sources : le site de la ville et sur wikipedia) La commune de Ploufragan est for

Cohiniac (22)

Cohiniac vient, semble-t-il, du latin "Cavannus" (chouette). Cohiniac est un démembrement de l'ancienne paroisse primitive de Plouvara. En 1160 et 1182, deux chartes citent Coginiac et Lohimac (ou Lohimiac) comme possession des hospitaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem. Ces derniers y possèdent une aumônerie (le lieu-dit Le Cloître, près de La Lande-Pelletier en conserve le souvenir). Cohiniac est cité dès 1220 dans une charte de l'abbaye de Beauport (Anc. év. IV, 75), lors de la donation des villages de Kertanguy et Kaer Brunaz (propriété du vicomte Suhart). Cohiniac a le titre de paroisse dès 1237 et élit sa première municipalité au début de 1790. Cohiniac dépendait jadis de la juridiction et de l'évêché de Saint-Brieuc et avait pour subdélégation Quintin. M. Palasne et M. Chavagnac en étaient les seigneurs. La cure était à l'alternative. L'an III de la République française, les royalistes pénétrèrent à Cohiniac au mépris de la trève du 14 nivôse, et dévas

les RACINE et LEBRUN

Le père de Marie Louise RACINE née à Tessancourt (78), Jean Nicolas RACINE, était huissier royal et plus précisément "huissier en ce baillage" (?), il est né vers 1669 et mort entre 1720 et 1724, je n'ai rien trouvé ni sur sa profession ni sur sa mort. Son grand-père, Nicolas RACINE était "marchand mercier", il est né à Meulan en 1642, s'est marié avec Nicole BOUILLAND (BOUILLARD, BOUILLART) en 1668. Les parents de Nicole, Thiébault BOUILLART et Marie DE FRESNES sont mariés à Meulan en 1632. La mère de Marie Louise, Jeanne LEBRUN, est originaire de Meulan. Son père, Simon, son frère François Simon et son grand-père Simon, étaient "officier de feue Madame La Dauphine", je n'ai encore rien trouvé sur leurs fonctions. La Dauphine était-elle Marie Adélaide de Savoie (1685-1712) épouse de Louis de France, Duc de Bourgogne puis Dauphin de France, les parents de Louis XV ? C'est probable.

les FORGET

Le plus vieux FORGET retrouvé est Claude marié à Isabeau LAFOSSE au 16è siècle à Vaux sur Seine (78). Son petit-fils, Jean est vigneron au début du 17è à Meulan, il est marié à Françoise GRUJARD dont les grands-parents sont originaires de Vaux sur Seine au 16è s. Pierre Jean FORGET, manouvrier est né en 1675 à Meulan et s'est marié avec Antoinette BIGNON en 1699, ils eurent 7 enfants connus. Les ascendants d'Antoinette sont originaires de Meulan, son père Jacques était vigneron, les patronymes concernés sont AUBRUN, COSTERET (COTTERET...), LAINE. Jean FORGET, dit le jeune, est né en 1649 à Meulan. Il s'est marié une première fois à 21 ans, puis une seconde fois à 25 ans avec Catherine DUVAU, puis une troisième et dernière fois à 58 ans, en tout, 13 enfants connus dont 11 avec Catherine. Il était vigneron et en 1708, il est "soldat de la garde française du roy ". Les ascendants de Catherine DUVAU (DUVEAU) sont originaires de Vaux sur Seine avec les MERIEL, DAMVILLE

photos des Fischer

de gauche à droite pour les adultes : Jeanne Albertine HENRY, Alice FISCHER, Louis Martin FISCHER, Suzanne FISCHER de gauche à droite : Louis Ferdinand GUILLOT, Berthe Marie Eugénie ALEXANDRE, Jeanne Albertine HENRY, Louis Martin FISCHER les mariés : Maurice GUILLOT, Suzanne FISCHER

Marie Hélène BAILLY

Marie Hélène BAILLY est née en 1823 à Ver les Chartres (28) et s'est mariée avec Jean François HENRY en 1857 à Soindres (78). Son père, François Gabriel est né à Ermenonville La Petite (28) en 1782 et son grand-père, était berger à Ermenonville La Petite, je n'ai aucune trace des parents de François, Louis BAILLY et Louise VOISIN. Sa mère, Marie Magdeleine Joséphine SEIGNE (plus exactement PEIGNE) est née en 1793 à Nogent sur Eure (28). Du côté de son père, Simon, ils sont de Meslay le Grenet (28) avec PEIGNE, LALLIER, ELAMBERT puis avant cela de Ermenonville la Grande (28) au 17è et fin du 16è avec les patronymes PEIGNE, CAILLE, POULIN, NORMAND, LAUNAY, ESLAMBERT, DESBORDES, MOULIN. Ils viennent également de Nogent sur Eure (28) au 18è et 17è avec BIGOT, GREGOIRE, BEAUPERE, GOUJON. Du côté de la mère de Marie Magdeleine Joséphine, ils sont originaires de Cintray (28) au 18è avec PICHON et BEAUPERE et au 18è et 17è nous les trouvons à Bailleau le Pin (28) avec BEAUPERE, PI

Jeanne Albertine HENRY

Mon arrière grand-mère. C'est elle que j'ai voulu connaître en commençant ma généalogie. Elle habitait Vaux sur Seine, était catholique pratiquante et n'attendait qu'une chose, retrouver les siens auprès de Dieu... En tout cas, elle a supporté toutes les épreuves de la vie gràce à cela. Elle est née en 1890 à Soindres (78) et est décédée en 1988 à Meulan (78). Elle a eu 6 enfants, le premier ayant été légitimé lors du mariage de ses parents à ses un an. Elle s'est mariée avec Louis Martin FISCHER. Jean François Henry (1820-) et Marie Hélène Bailly (1823-), ses grands-parents paternel, s'installent dans les Yvelines. Marie est née en Eure et Loire et Jean François est né à Cohiniac un village dans les Côtes d'Armor. Les ascendants du père de Jean François sont tous issus des Côtes d'Armor au 17è siècle : Cohiniac pour les LE VICOMTE, DOMALEN (plusieurs variantes), HENRY, LOHIER, THOMAS, LE QUERE, GIRIQUEL, LE MEHAUTE, LE BELLEGO ; Plouvara p

les LAISNE

Marie Françoise LAINE ou LAISNE est née en 1762 à Gaillon sur Montcient (78) et s'est marié avec Louis Paul Ferdinand MORDANT, ils sont parents de Claude lui-même marié à Julie Adelaide LAINE. Y-a-t-il un lien entre les deux branches, je n'en ai pas trouvé. Le plus ancien LAISNE est Martin, vivant au 17è siècle à Gaillon sur Montcient. Nous y retrouvons les patronymes CLEMENT, GUIGNARD, DAVID, GERVAIS, CHANDELIER, QUERET.

les LAINE

Julie Adélaide LAINE est née en 1795 à Gaillon sur Montcient (78) et s'est mariée avec Claude MORDANT. Je n'ai rien trouvé sur son père Jean Jacques, cultivateur à Meulan et son grand-père Claude. Sa mère, Julie Joseph MAYET est née vers 1770 très certainement dans le Nord de la France puisque ses parents, Thomas MAYEUX et Russine BAUMET sont originaires de Lille.

les MORDANT

Philippe Julien MORDANT, le père d'Ernestine mariée avec Emile FISCHER, est né en 1835 à Meulan (78). Ses ascendants MORDAN (MORDANT) sont à Meulan depuis la fin du 18è; Louis Paul Ferdinand MORDANT est né en 1768 à Meulan, il est le fils de Jean Baptiste et Marie Nicole FORGET, il s'est marié avec Marie Françoise LAINE (LAISNE), il était tanneur. Claude MORDANT, né en 1796 à Meulan, s'est marié avec Julie Adelaide LAISNE, ils ont 8 enfants connus. Au décès de son père, Louis Paul Ferdinand en 1839, il est dit "Scieur Delong" et signe "Mordan", je ne sais pas ce que cela signifie. Le plus ancien MORDANT que j'ai trouvé est Charles né au début du 17è siècle à Levis Saint Nom (78). Les Mordant y sont restés pendant près d'un siècle pour s'installer à Verrières (78) pendant encore un siècle. On y trouve également les patronymes des épouses COLIN, DAMASD, RENOU (ERNOU), JUBIN, JEAN.

les CHANTERELLE

Rose Françoise Emilie CHANTERELLE, la grand-mère de Louis FISCHER, couturière, est née à Chatou (78) en 1839 et s'est mariée avec Louis Martin FISCHER, ébéniste, en 1858 à Meulan (78). Le père de Rose, Jean Baptiste, était jardinier. Il est né à Chambly (60) vers 1791 ou 1793 et est mort à Meulan en 1853. Ses ascendants sont à Orgeval (78) pour les LEGRAND, ROLLET, PIGEON, DE LA FOSSE, St Nom La Bretèche (78) pour les HERARD et MICHEL, à Crespières (78) pour les THOMAS et LEVESQUE, à Davron (78) et Feucherolle (78) pour les SOULAS, FONTAINE, BUTANT, HUE et Bazemont (78) pour SACAVIN, tous vivants au 17è siècle. La mère de Rose, Marguerite Rosalie HERY (ERY) est née à Poissy (78) en 1805, ses patronymes ascendants sont VALLEE, REPE, DERET, MANGER (MAUGER) à Morainvilliers (78) au 17è siècle, MIGNOT, RICHIER à Poissy. Parmi les journaliers et laboureurs, nous avons un Jacques HERARD, vigneron au 18è siècle à Crespières.

Salomé GERBER

Salomé est née à Neuwiller les Saverne (67) en 1761. Son père Antoine était charpentier. Le père de ce dernier est né à Steinbourg (67). On trouve, dans l'ascendance des GERBER les patronymes VON AHA, MAURER, RUFF et WAGNER au début du 18è siècle à Neuwiller ou Steinbourg. La mère de Salomé, Salomé ROS est également née à Neuwiller mais je n'ai rien sur ses parents Bernard ROS et Anne Marie Elisabeth GAST si ce n'est qu'ils sont catholiques et se sont mariés en 1719 à Neuwiller.

Généreuse JACQUEMIN

Généreuse JACQUEMIN est née en 1805 à Belonchamps (70) et vivait à Paris en tant que rentière en 1858. Elle s'est mariée avec Jean Joseph FISCHER en 1829 à Schirmeck (68). Son père, Etienne JACQUEMIN est né à Rambervilliers (88), ses ascendants sont pour les MAGNIER de Clenzentaine (88) et Evaux (88), les LECLERC, HANRY sont également présents au 17è siècle à Clezentaine. Sa mère, Madeleine BOITARD est née en 1784 à Remiremont (88) , ses ascendants maternels sont issus du même village sur plusieurs générations, les VOIRIN, BOMBARDIER, NOEL, GIRARD, ROSSIGNOL, avec un "boucher bourgeois de Remiremont" au 17è siècle en la personne de Jacques VOIRIN marié à Nicole NOEL. On change de ville avec Marie FRAYARD née vers 1679 à Eloyes (88). Le père de Madeleine, Sylvain BOITARD, est né à Lurais (36) vers 1755 et s'est marié à Remiremont. Je n'ai pas d'information sur ses parents, Antoine BOITARD et Madeleine DABON.

Louis Martin FISCHER

Louis Martin était menuisier. Il est né en 1886 à Meulan (78) et est mort en 1968 à Vaux sur Seine (78). Je ne remonte pas très loin du côté des Fischer. Jean Joseph FISCHER, l'arrière grand-père de Louis, est né à Strasbourg (67) en 1800 et s'est marié avec Généreuse JACQUEMIN à Schirmeck (67) en 1829. Il était caporal au 5è régiment d'infanterie légère 3è bataillon 6è compagnie et est décédé à Chatellerault (86) en 1839 à l'hospice de la ville. Son père Joseph était menuisier à Strasbourg et avait 64 ans lorsqu'il est né d'un second mariage. Les parents de ce dernier également de Strasbourg était Françoise HUMBERT et Joseph FISCHER jardinier. Sa mère, Salomée GERBER (ou GERBOS), était originaire de Neuwiller les Saverne (67), son père y était charpentier et sa mère s'appelait Salomé ROS.

les SEIGEOT

Françoise SEIGEOT est née à Lacollonge (90) et s'est mariée à Mostaganem, ses parents sont décédés à Lacollonge. L'un de ses ascendants, Jean-Pierre, était meunier au 18è siècle. Je ne suis pas remontée plus loin. Dans la branche de Françoise, nous remontons au 17è siècle entre le Haut Rhin et le Territoire de Belfort avec le couple Théabaud PAPON et Marguerite TACQUARD morts en 1688 et 1694 à Eteimbes (68). Nous allons également au 16è siècle avec le couple Mathis SCHNOEBELEN et Barbe HANNING au même endroit. Nous changeons de région avec Nicolas COUSY né à Famechon (62), marié à Angeot (90) en 1698 avec Elisabeth CLAR morte en 1740 à Eteimbes.

les COMBES

Les COMBES sont arrivés en Algérie avec les premiers colons alsaciens selon ma grand-mère. Je n'ai malheureusement pas pu avancer plus sur cette branche. Louis Napoléon Combes, né en 1862 à Alger ainsi que son père Jacob étaient ferblantiers. Louis était marié à Marie AGUILAR, ménagère née à Alger en 1867, son père José est mort à Alger ainsi que sa mère Rita FERRANDO. Charles Alphonse CASSEREAU né en 1812 à Niort (St Denis) était tanneur lors de son premier mariage avec Hélène LEBERTON à Niort et il est géomètre du service topographique lors de son second mariage à Mostaganem en Algérie, avec Françoise SEIGEOT, notre ancêtre. Le père de Charles, André CASSEREAU était cafetier, sa mère s'appelait Marie GAIRAULT, je n'ai aucune autre information.

les LIEBERT et HOTZ

Les LIEBERT sont originaires de Bettlern en Pologne (Duché de Silésie). Joseph Liebert est arrivé à Colmar (68) au 18è siècle et s'y est marié, il était "bourgeois et maréchal ferrant" à Colmar et son père Paul était "bourgeois et jardinier à Bettlern". Les Hotz sont originaires de Colmar. Conradus Hotz, garde champêtre à Jebsheim (à 10 km de Colmar) était marié à Maria Wertzler et vivait au 17è siècle. Son fils et son petit fils étaient vigneron. Conradus, le petit fils, était également fossoyeur. Il était marié à Anna Maria Kuonz née à Wangen en Suisse. Les Dutz sont apparus en France à Biesheim (68) en 1796 mais seraient originaires de Pirmasens en Rhénanie-Palatinat (Allemagne).

les WIEDERHIRN

Joséphine WIEDERHIRN, la femme de Jean BRIGNATZ est né KEYSER du nom de sa mère en 1854 à Colmar (68), qui avait déjà 2 filles avant de se marier avec Jean WIEDERHIRN qui a légitimé les 2 naissances pourtant intervenues 6 ans auparavant pour Joséphine l'aînée. Les Wiederhin (ou Wiederhirn) vivaient à Colmar. Jean était vigneron. Je n'ai rien sur ses grands-parents paternels, peut-être à Colmar, les HILD, HAEFFLE (plusieurs variantes), les MANDRESS. Dans l'ascendance de Jean, nous trouvons également les SCHMIDT, HARDER, BUHL, WEINSTICHER du côté de sa mère.

les BRIGNATZ, BRISCHNATZ

Il s'agit de Joséphine Jeanne BRIGNATZ née en 1881 à Alger, de sa belle-mère et de ses enfants. Le père de Joséphine est né à Colmar (68) et est parti à Alger (quand ?) où il y était employé aux chemins de fer. Télésphore, le grand-père de Joséphine, était né à Marckolsheim (67) de père inconnu. Son grand-père à lui, Jean BRISCHNATZ était préposé des douanes à Marckolsheim lorsque Télésphore est né. Dans les états civils de la ville de Marckolsheim, il n'y a que très peu de BRISCHNATZ et ils semblent donc, puisqu'ils sont tous contemporains, qu'il s'agit de la même famille. Jean et Marie LEHE (ou LEH) ont eu Johann Georg né en 1801 à Rittershoffen (67), Odile née en 1810 à Strasbourg (67), Madeleine (la mère de Télésphore) née vers 1810 on ne sait pas où, Marie Anne née (et décédée) en 1814 à Marckolsheim. Deux autres femmes, toutes deux ayant eu 2 enfants de père inconnu, semblent, aux vues des dates, être les filles de Jean et Marie. Jean est né vers 1758 à C

Albert CAMUS

Albert CAMUS (1913-1960), écrivain, prix Nobel de littérature en 1957 Il est né à Mondovi en Algérie et s'est par son père que nous sommes cousins et plus particulièrement par son arrière-grand-mère paternelle, Thérèse Marie Beleoud. Nous avons 4 couples en commun avec l'ascendance RIBOUREL : Cristol DURBEC, né à Dolcedo en Italie, marié avec Baptistine X vivants à la fin du 15è siècle Brancail Berenger CAMOIN marié à Hugone CABRIER vivants à Allauch (13) à la fin du 15è siècle Jacques RICARD, laboureur, marié en 1430 à Allauch à Jaumette AYCARD André JOUVIN marié en 1541 à Aubagne (13) à Berengère BLANCARD vivants (source : geneastar.org)

Jean Pierre DAURELLE

Il a été l'époux de Cécile GALY. Nous retrouvons les DAURELLE dans le Tarn et l'Aveyron et le plus ancien ascendant retrouvé dans cette branche vivait au 16è siècle. Selon ma grand-mère, il y aurait une cousine D'AURELLE DE PALADINE, je n'ai rien trouvé. Les DAURELLE ou aussi D'HAURELLE sont originaires de Curvalle à 15 km d'Ambialet. Le plus ancien est Pierre DAURELLE qui vit au 17è siècle. On change de région avec les GALIBERT originaires de l'Aveyron. Le plus ancien est Etienne GALIBERT né vers 1630 à Murasson (très proche du Tarn). Les autres patronymes sont DURAND, CHABBERT, HERMETTE, CALAS, POUJOLE, GIRARD (GIRAUDE), ROUTOULP, HUC, SOMPAYRAC, PUJOL, GALY, BONNET, AUGERE, TRUELH, BIAU, tous à Ambialet, Paulinet et Curvalle. Les autres prénoms rencontrés sont : Anne, Thoinette, Isaac, Mathieu, Bérenguière, Bernard. Les seules professions relevées sont laboureur et cultivateur.

Cécile GALY

Cécile est née le 30 janvier 1811 à Ambialet (81) Elle a été l'épouse de Jean Pierre DAURELLE J'ai très peu d'informations sur cette branche, les plus anciens étaient vivant au 17è siècle. Pour le fun, on peut noter que nous avons dans notre arbre deux Cécile GALY, cette dernière vivante au 19è siècle et l'autre vivant au 17è siècle et mariée à Jean MATHA dont descend le mari de la première, Jean Pierre DAURELLE.

les Sardou

Du côté de Anne SARDOU, la femme de Louis BAUDIN (arrière grand-mère de Marie BAUDIN), nous remontons jusqu'au 13è siècle. - Les SARDOU, Anne descend de Estienne SARDOU, frère de Jean cités ci-dessus, elle est à la 6ème génération. - Les CAMOIN, le plus ancien est Guillaume AMONIN (une variante du patronyme), marié à Dona SAUSSE à la fin du 14è ou au début du 15è siècle à Allauch. Tout comme les SARDOU, l'un de ses fils, notre ancêtre, Jean dit le Vieux, a eu au moins 6 enfants avec Hugone CABRIER dont 2 sont nos ancêtres : BRANCAIL de son prénom et son frère Noel. - Les JOUVIN, le plus ancien est Barthélémy JOUVIN marié à une femme prénommée Alaette au 15è siècle. Là aussi, Jean JOUVIN (on ne connait pas sa femme) aura au moins 7 enfants dont 2 seront nos ancêtres : André et Bertrand son frère, nés à la fin du 15è siècle. - Les RICARD, le plus ancien est Guillaume RICARD vivant au 13è siècle. Son fils ainé, Guillaume, a eu 2 enfants connus, tous deux nos ancêtr

les Baudin

Les BAUDIN (ou Beaudin) et leurs ascendants vivaient également à Allauch et Marseille du 17è au 19è siècle, nous les retrouvons à Aubagne au 16è siècle. Je n'ai trouvé aucun mariage de Joseph BEAUDIN et Françoise BARTHELEMY dans les principales villes aux alentours de Marseille. Peut-être que Françoise venait d'un autre département ou d'un village des Bouches du Rhône. Je n'ai donc aucune information sur les ascendants BARTHELEMY. Par contre, la découverte aux archives de l'acte de naissance de Joseph BAUDIN m'a permis de trouver son ascendance sur geneanet. Il se peut néanmoins qu'il y ait des erreurs car nous sommes dans des périodes où les actes sont particulièrement difficiles à retranscrire et où les informations mentionnées n'étaient pas des plus complètes. Je ne remets bien sur pas en question le travail des généalogistes ainsi que leur sérieux, et encore merci à eux. Du côté de Louis BAUDIN (arrière grand-père de Marie, épouse de Jean Pierre Sau

les Ribourel

Les RIBOUREL et leurs ascendants vivaient à Allauch ou Marseille, deux villes à moins de 8 km l'une de l'autre au 19è et 18è siècle. Les hommes sont laboureurs ou paysans avec une exception : Jacques JULLIEN (né entre 1680 et 1700 ?) qui lui, est jardinier. Les patronymes dont sont issus les RIBOUREL sont : RIBOULET, CADENEL, CAMISOLON, COSTE, DURAND, DURBEC, FINAT, NICOLIN, REVERTEGAT, LAUGIER, PAUL. Pour les prénoms, nous avons des Hélène, Catherine, Anne, Rose, Marguerite, Ange (masculin), Jacques, Paul. Je ne dépasse malheureusement pas la 10ème génération pour cette branche. Il y a beaucoup de DURBEC et de RIBOULET dans les Bouches du Rhône, je vais donc poursuivre mes recherches dans ces mêmes lieux.

Etienne Leon RIBOUREL

Etienne est né le dimanche 19 septembre 1875 à Marseille (13), il s'est marié avec Joséphine Jeanne BRIGNATZ le samedi 29 août 1903 à Alger et est décédé en mer Méditerranée lors du torpillage de son bateau, le Pax (quartier : Alger 1208, JO du 02/04/22) le dimanche 12 mai 1918.